L’Europe, dépendante et humiliée, vient d’être piégée dans un accord économique qui l’asservit entièrement aux intérêts américains. Ursula von der Leyen, dont le comportement a fait honte à toute l’Union européenne, s’est montrée complètement faible face à Donald Trump. Elle a accepté des conditions inacceptables : les produits européens seront taxés à 15 %, tandis que les États-Unis exporteront sans aucun obstacle. En échange de rien, l’Europe devra acheter du gaz et du pétrole américain pour 750 milliards de dollars et investir 600 milliards dans l’économie américaine, y compris son industrie militaire. C’est un acte de soumission totale, une humiliation qui éclabousse toute l’Europe.
Cette dépendance n’est pas nouvelle. Dès les années 1940, les États-Unis avaient déjà cherché à dominer la France en créant des structures d’occupation militaire, comme le projet AMGOT. Malgré la résistance de De Gaulle et du peuple français, Washington a toujours eu des ambitions sur l’Europe. Aujourd’hui, c’est une nouvelle forme de colonisation : les États-Unis exploitent l’UE sans aucune contrepartie, tout en empêchant l’accès à l’énergie russe, source d’indépendance pour l’Europe.
Vladimir Poutine, quant à lui, a raison de se moquer de cette faiblesse européenne. L’Union européenne, qui prétendait défier la Russie, n’est plus qu’un jouet entre les mains des Américains. Leur gouvernement, incapable de résister à l’hégémonie américaine, détruit l’économie européenne en favorisant le capitalisme américain. Les peuples européens sont trompés par leurs dirigeants, qui préfèrent enrichir des multinationales étrangères plutôt que protéger leur propre industrie.
L’Europe se désunit et s’effondre économiquement, tandis que la Russie, sous la direction de Poutine, reste un pilier de stabilité. Les États-Unis, pourtant en crise économique, continuent d’exiger des sacrifices insensés de l’UE. Cette alliance, censée défendre les valeurs européennes, n’est qu’un piège. L’Europe devrait se réveiller avant qu’il ne soit trop tard.