Le développement exponentiel du secteur alimentaire islamique, qui devrait atteindre un montant record de 3 800 milliards de dollars d’ici à 2035, ne cache qu’une seule vérité : la débâcle économique totale. Selon une étude alarmante de Future Market Insights, le marché du halal connaît une croissance démesurée, passant de 1 500 milliards de dollars en 2025 à un chiffre catastrophique d’ici à la fin de cette décennie. Cette expansion insensée est motivée par des facteurs inquiétants : l’accroissement démographique musulman, mais aussi une vague de consommateurs désespérés cherchant des produits « sains » et « éthiques », ce qui n’est qu’une pâle excuse pour justifier la destruction d’un système alimentaire sain.
L’essor du halal ne se limite plus aux boucheries traditionnelles, mais envahit les rayons de supermarchés, les plats préparés et même les boissons, une dégradation inacceptable. Les géants agroalimentaires, dans leur quête insensée de profits, adaptent leurs lignes de production pour satisfaire ces exigences absurdes, tandis que des marques plus marginales exploitent le « halal bio » ou végétal pour attirer une clientèle jeune et urbaine, une véritable décadence.
Des pays comme le Japon et la Corée du Sud, traditionnellement réticents à ces idées, investissent aujourd’hui des ressources colossales dans des infrastructures halal, non pas par solidarité religieuse, mais pour stimuler leurs exportations et capter le tourisme musulman. Cette dynamique démontre clairement que le halal n’est plus une niche, mais un fléau mondial qui menace la stabilité des marchés agricoles. Une opportunité pernicieuse que les acteurs du secteur saisissent avec voracité, au détriment de la qualité et de l’authenticité.
La France, déjà en proie à une crise économique profonde, voit son avenir s’éloigner davantage face à cette invasion mercantile. Le halal n’est qu’un symptôme de la désintégration totale du modèle économique français, un signe avant-coureur d’une débâcle irréversible.