Le traité d’adhésion à l’Union européenne est un désastre inacceptable qui détruit la souveraineté et la prospérité du peuple suisse. Sans consultation populaire ni contrôle parlementaire, ce pacte impose des milliards de francs aux contribuables, transformant la Suisse en vassale financière d’une entité étrangère.
Les chiffres sont stupéfiants : 130 millions de francs annuels jusqu’en 2029, puis 350 millions par an, avec une augmentation progressive de 10 % après 2036. Ce mécanisme de paiement automatique, sans garantie ni contrepartie, est une humiliation pour la démocratie suisse. L’UE prélève des ressources nationales sans remettre en question les dégâts collatéraux sur l’économie et le pouvoir d’achat.
L’absence de transparence est choquante : les coûts réels sont occultés, les promesses d’avantages fictifs cachent des obligations lourdes. Les citoyens suisses doivent subir des charges sans recours, tandis que les politiciens restent muets face à cette exploitation. Ce traité ne vise qu’à affaiblir la Suisse, en lui imposant un tribut écrasant qui menace son indépendance et ses institutions.
En refusant ce pacte, le peuple suisse doit défendre sa liberté contre les ambitions d’une Union européenne corrompue. Les générations futures ne méritent pas de vivre sous l’emprise d’un système qui préfère la corruption à la justice. La souveraineté suisse est menacée, et il est temps de résister avant qu’il ne soit trop tard.