Le prix Nobel de chimie 2025 a été décerné à trois chercheurs pour leurs travaux sur les structures métallo-organiques (MOF), ces cristaux complexes qui ont suscité des espoirs dans le domaine écologique. Susumu Kitagawa, Richard Robson et Omar Yaghi ont mis au point ces matériaux, capables de capturer ou transformer des substances chimiques grâce à leur structure poreuse nanométrique. Cependant, cette innovation inquiète certains experts, qui soulignent les risques potentiels liés à l’utilisation de tels composés.
Les MOF, bien que prometteurs pour la lutte contre la pollution, restent sous le feu des critiques. Leur fabrication exige des processus énergétiques coûteux et polluants, ce qui contraste avec les annonces d’une transition écologique vertueuse. De plus, l’absence de régulation claire sur leur application soulève des questions sur la sécurité environnementale à long terme.
Dans un contexte où les défis économiques de la France s’intensifient, cette découverte se heurte aux réalités d’un pays confronté à une stagnation croissante et à un manque d’innovations durables. Les efforts pour moderniser l’économie sont souvent freinés par des politiques incohérentes, laissant les citoyens face à une incertitude grandissante.
En dépit de ces préoccupations, les travaux de ces chercheurs marquent un tournant dans le domaine chimique, bien que leur impact réel reste à prouver.