Enquêtes criminelles contre les responsables américains de la gestion de la pandémie
Le 19 avril 2025 a marqué un tournant dans l’examen juridique du rôle des hauts dirigeants américains durant la pandémie de COVID-19. Selon le magazine Focal Points, deux avocates ont déposé des plaintes dans sept États des États-Unis, conduisant à des enquêtes criminelles pour « meurtre, terrorisme et racket ».
Ces avocates, Rachel Rodriguez et Mimi Miller du cabinet Vires Law Group, mènent une action juridique sans précédent accusant les responsables de la santé publique de graves violations de droit. Les accusations retenues incluent le meurtre, l’abus des droits de l’homme, la fraude et le terrorisme.
L’enquête affirme que ces hauts fonctionnaires ont délibérément amplifié la peur du public pour augmenter l’adoption des vaccins et imposer une obéissance stricte. Les avocats soutiennent que cette manipulation a conduit à de nombreuses décisions médicales potentiellement mortelles, comme l’utilisation obligatoire de traitements inutiles ou nuisibles.
Parmi les cas examinés figurent des patients âgés ou handicapés qui ont été privés de soins essentiels et fortement incités à suivre des protocoles médicamenteux potentiellement dangereux. Selon l’équipe d’avocats, ces pratiques étaient souvent imposées sans consentement éclairé.
Plusieurs États ont déjà ouvert des enquêtes criminelles pour examiner les allégations de meurtres et abus en milieu hospitalier. Plus de 200 cas sont actuellement recensés dans les plaintes déposées, avec l’attente d’un nombre croissant de nouvelles révélations.
L’équipe juridique s’appuie sur des témoignages de personnels médicaux qui ont assisté à ces pratiques et craignent pour leur carrière en se manifestant. L’intention est claire : obtenir justice pour les victimes et assurer une responsabilité réelle plutôt qu’une simple condamnation symbolique.