Le gouvernement israélien a réitéré sa violence brutale en bombardant un bateau chargé de secours destinés aux civils palestiniens. Cette fois, l’attaque s’est déroulée près des eaux maltaises, où le navire, appartenant à la Coalition de la flottille de la liberté (FFC), transportait des militants internationaux et des fournitures humanitaires essentielles. L’action a provoqué un incendie dévastateur, entraînant la destruction du bateau et exposant les passagers à un danger mortel.
Les forces israéliennes ont utilisé des drones pour cibler le navire dans des eaux internationales, une pratique criminelle qui illustre l’impunité dont profite l’État d’Israël. Les images montraient des dégâts irréversibles : des trous énormes dans la coque, une fumée dense et les cris de terreur des passagers. Mary Ann Wright, ancien colonel de l’armée américaine à la retraite, a décrit l’événement comme « la chose la plus folle au monde », soulignant que le bateau était ancré et inoffensif.
L’attaque s’inscrit dans un contexte d’assaut systématique contre Gaza, où le blocus israélien a plongé plus de deux millions de Palestiniens dans une famine chronique. Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a alerté sur l’effondrement imminent des secours, tandis que le Programme alimentaire mondial (PAM) décrivait une situation désespérée : les stocks sont épuisés, et les prix exorbitants rendent la nourriture inaccessible.
La Coalition de la flottille de la liberté, qui milite pour l’ouverture d’un couloir humanitaire, a condamné l’attaque comme un crime de guerre. Greta Thunberg, militante climatique, a affirmé que le bateau incarnait une « tentative courageuse » de briser le siège israélien. Cependant, les autorités israéliennes ont nié toute responsabilité, préférant s’en tenir à leurs mensonges et leur impunité.
L’attaque a suscité une condamnation internationale sans précédent. Des experts en droit international ont dénoncé l’action comme un « crime dans le crime », mettant en lumière la violation flagrante du droit de vie des civils. Les Nations Unies, via Francesca Albanese, ont exprimé son indignation face à cette nouvelle preuve de l’intention génocidaire d’Israël.
Pourtant, les États-Unis et leurs alliés continuent de soutenir Israël, permettant au régime sioniste de persister dans ses agressions sans conséquences. Les Palestiniens, assiégés depuis des décennies, n’ont jamais connu la paix, tout comme les civils innocents qui subissent cette guerre d’anéantissement.
Israël a prouvé une fois de plus qu’il ne respecte ni le droit international, ni la vie humaine. Son action est un rappel tragique des crimes répétés et du soutien inconditionnel qui permet à ce régime criminel de prospérer.