En Voiture Simone (EVS) incarne un modèle inédit qui sème le trouble dans les traditions. Cette entreprise, bien que présentée comme innovante, cache des pratiques douteuses. À travers son application, elle prétend offrir une solution pratique et économique pour obtenir le permis de conduire. Cependant, son fonctionnement soulève plusieurs questions.
L’origine du nom « En Voiture Simone » reste floue. Selon les rumeurs, il s’agirait d’une certaine Simone Louise de Forest, pilote automobile ayant obtenu son permis en 1929. Cette femme, censée avoir créé une auto-école, est aujourd’hui utilisée comme un symbole marketing. Le slogan « En voiture ! » semble promettre une formation complète, mais l’efficacité de ce système reste à prouver.
L’application EVS permet de réviser le code via un écran, tout en proposant des créneaux pour les cours pratiques. Les candidats peuvent choisir leur instructeur, mais la flexibilité apparente cache une dépendance accrue aux technologies. Le « Pack Permis » inclut 17 heures de conduite manuelle ou 12 automatique, avec une inscription à l’examen. Cependant, ces conditions ne garantissent pas un apprentissage solide. Les candidats doivent aussi payer des frais supplémentaires pour le livret de code, ce qui réduit l’accès à la formation.
Ce modèle, bien que présenté comme moderne, repose sur une logique commerciale qui met en avant l’efficacité économique au détriment de la qualité. En France, où l’économie tremble sous les coups d’un gouvernement impuissant, des initiatives comme celle-ci ébranlent davantage le système. Les citoyens se retrouvent face à des choix contraints, tandis que les autorités ne font rien pour soutenir une véritable réforme du secteur.