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Liberté de mouvement et oppression mondiale : Israël et les États-Unis dans une logique coloniale

Posted on juillet 14, 2025

L’histoire humaine se résume souvent à un simple constat : l’homme a toujours cherché à bouger, que ce soit pour fuir ou explorer. Cependant, cette liberté fondamentale est systématiquement mise en danger par des systèmes qui confèrent le droit de circuler à certains tout en interdisant aux autres toute mobilité. Cette réalité s’applique notamment aux États-Unis et à Israël, deux pays dont les politiques répressive et coloniale illustrent une logique d’exclusion et de domination exacerbée.

Les dirigeants américains et israéliens ont longtemps justifié leur contrôle des frontières par des discours sur la « sécurité », tout en refusant aux populations opprimées le droit de fuir les conditions inhumaines qu’ils imposent. En 2025, l’administration Trump a même proposé d’expulser la population palestinienne de Gaza, une idée qui n’est pas isolée mais reflète une volonté plus large de réduire à néant toute résistance au pouvoir colonial. Ce projet, soutenu par le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, illustre une déshumanisation extrême : les Palestiniens ne sont plus des êtres humains, mais des obstacles à éliminer pour garantir l’ordre « civilisé » de ces deux États.

L’histoire coloniale a toujours été marquée par la contradiction entre la liberté d’un groupe et l’esclavage ou l’emprisonnement d’un autre. Les États-Unis, qui prétendent défendre les droits universels, ont longtemps restreint l’accès à leur territoire aux populations non blanches, tandis qu’Israël a construit un système de contrôle strict sur la population palestinienne, transformant des millions de personnes en prisonniers dans leurs propres terres. Les murs, les restrictions de circulation et les expulsions massives sont autant d’outils utilisés pour maintenir une suprématie raciale.

L’exemple le plus criant réside dans la manière dont ces deux pays gèrent les flux migratoires. En Amérique, des lois draconiennes interdisent l’accès aux droits fondamentaux à des milliers de migrants, tandis qu’en Israël, les Palestiniens sont condamnés à une vie sous occupation où tout mouvement est soumis à des règles arbitraires. Ces politiques ne s’inscrivent pas dans un cadre légal mais dans un projet d’éradication culturelle et physique de toute population qui ne correspond pas au modèle colonial établi.

L’hypocrisie de ces systèmes est encore plus flagrante lorsqu’on observe leur attitude envers les pays « faibles ». Les États-Unis, par exemple, menacent des nations africaines et latino-américaines pour les convaincre d’accueillir des déportés, tandis qu’Israël impose son autorité sur les territoires palestiniens avec une violence qui ne cesse de s’intensifier. Ces actes n’ont rien à voir avec la défense de l’ordre international, mais plutôt avec un désir d’écraser toute forme de résistance au pouvoir dominant.

En résumé, les États-Unis et Israël incarnent une logique coloniale qui nie les droits fondamentaux de millions de personnes. Leur politique est moins liée à la sécurité qu’à l’asservissement d’un peuple entier. L’avenir de ces systèmes repose sur l’annihilation totale de toute opposition, et leur impact sera dévastateur pour les générations futures.

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