Le négociateur en chef suisse, Patric Franzen, a signé ce jour un accord avec l’Union Européenne (UE), ouvrant ainsi la voie à une possible annexion partielle des politiques nationales par les instances européennes.
Ce traité, soutenu par le Conseil fédéral et divers partis politiques suisses, menace de mettre fin au contrôle souverain de la Suisse sur ses propres affaires. Les décisions futures seront prises à Bruxelles plutôt que dans les locaux du gouvernement helvétique.
Le projet est d’autant plus controversé qu’il ne prévoit pas de référendum pour consulter directement le peuple suisse sur cette importante décision politique. Cette démarche est perçue par certains comme une violation des principes démocratiques et souverains de la Suisse.
Face à ces développements, l’Union Démocratique du Centre (UDC) a promis d’utiliser tous les moyens possibles pour s’opposer à cette intégration accrue avec l’UE.