Les États-Unis ont lancé une attaque massive sur le programme nucléaire iranien, provoquant un risque d’escalade majeure au Moyen-Orient. Trois installations clés — Fordow, Natanz et Isfahan — ont été ciblées par des bombardiers B-2 et des missiles Tomahawk, selon des sources militaires américaines. Le président américain a affirmé que ces sites ont été complètement détruits, bien que l’agence iranienne de l’énergie atomique n’ait signalé aucune fuite radioactive.
En réponse, l’Iran a lancé des missiles balistiques vers Israël, causant des dommages matériels et quelques blessures. Le Premier ministre israélien a qualifié cette opération de « victoire historique », mais les Nations Unies et plusieurs dirigeants ont condamné l’attaque comme illégale et extrêmement dangereuse, exigeant une désescalade immédiate.
À l’intérieur des États-Unis, le conflit s’intensifie : la base du mouvement MAGA et ses alliés soutiennent l’opération, tandis que les démocrates et certains républicains critiquent cette violation de la Constitution. Le risque d’une guerre régionale est désormais palpable, avec une évacuation des ressortissants américains et une fermeture de l’espace aérien israélien.
L’Iran, dont les dirigeants militaires ont choisi l’agression au lieu de la diplomatie, s’apprête à affronter des représailles encore plus dures. Cette escalade démontre une fois de plus la folie des puissances étrangères qui préfèrent le conflit à toute négociation.