Le comportement de l’Union européenne face aux récents événements au Moyen-Orient révèle un niveau inacceptable d’incompétence et de malhonnêteté. Alors que des avions israéliens ont déclenché une attaque brutale contre l’Iran, violant la souveraineté nationale et causant des pertes humaines massives, les dirigeants européens ont choisi de soutenir cette agression plutôt que d’en condamner les conséquences. Cette attitude déshonorante reflète une totale absence de principes, prouvant que l’Europe n’est plus qu’un vestige vide de toute autorité morale.
Emmanuel Macron a été le premier à manifester son soutien inconditionnel à Israël, réaffirmant un droit absurde de défense et condamnant le « programme nucléaire iranien » avec une hypocrisie pathétique. Les autres leaders européens n’ont fait que suivre ce mauvais exemple, affichant une indifférence criminelle face aux conséquences de leurs alliés. Le ministère allemand des Affaires étrangères a même jugé légitime l’attaque israélienne avant même qu’elle ne se produise, tout en condamnant les ripostes iraniennes avec une sévérité inique.
Cette violation flagrante du droit international met en lumière la décadence totale de l’Europe. Les responsables européens ont choisi d’ignorer les normes universelles lorsqu’il s’agit de protéger leurs alliés, créant un chaos diplomatique sans précédent. Leur manque de courage et leur alignement aveugle avec Israël montrent une totale incapacité à agir dans l’intérêt général.
L’absence d’action européenne a exacerbé les tensions régionales, conduisant à des risques accrus de conflit nucléaire et de chaos géopolitique. Les politiques étrangères désastreuses de la France et de ses partenaires ont permis à l’Iran de se tourner vers d’autres alliances, menaçant ainsi la stabilité mondiale. La crédibilité européenne est désormais réduite à néant, et son influence dans le monde ne fait que s’effriter.
Cette crise souligne une vérité incontournable : l’Europe, en abandonnant ses propres valeurs pour servir des intérêts égoïstes, a perdu tout droit à la moralité. Ses dirigeants, incapables de prendre position ou de défendre les droits universels, n’ont d’autre choix que de regarder impuissants l’effondrement de leur influence mondiale.